GéNéRiQ revient pour une 13ème édition avec le même pari, sans cesse renouvelé au fil des années : l’éclectisme. C’est le maître-mot, encore une fois, d’une édition portée par la curiosité. Une confiance absolue dans l’envie de découvertes du public. Un public qui sait investir les lieux et s’approprier des artistes en pleine éclosion.

GéNéRiQ, depuis sa création, c’est l’occasion d’une rencontre rare avec les artistes. Un rapport de l’expérience live intime et insolite. Des découvertes musicales et artistiques qui ressemblent à des aventures, dans des lieux fous, imprégnés d’une histoire qui n’a parfois rien à voir avec la musique, et où tout est à réinventer.

Avec des concerts dans des églises, des cirques, des appartements, dans un centre chorégraphique à Belfort, dans un lycée à Besançon, ou encore à la Cité du Train à Mulhouse, le festival revendique encore sa dimension urbaine, populaire et son appropriation des villes. GéNéRiQ, c’est la musique comme une quête. Une quête qui fédère, qui nous donne à tous l’envie de se réunir autour de la musique. D’écouter ensemble, de vivre le moment musical présent.

Aux manettes pour cuisiner une formule aussi exigeante et populaire à la fois, ce sont les mêmes depuis toujours : Les Eurockéennes de Belfort, La Vapeur à Dijon, Le Noumatrouff à Mulhouse, La Poudrière à Belfort, Le Moloco à Audincourt et La Rodia à Besançon.

5 villes à conquérir en 4 jours, pour près de 45 concerts dont la moitié sont gratuits. Cette année encore, il y fera bon écouter les vacarmes, les tumultes musicaux capables de réconcilier les auditeurs les plus pointus et les spectateurs occasionnels. Dijon, Besançon, Belfort, Montbéliard et Mulhouse bruisseront comme jamais, et vivront au rythme de l’urgence de la jeunesse sur scène, mais aussi de quelques pointures internationales. Une idée du cru 2020 ? La folk au miel de Shannon Lay, les rock farmers de The Inspector Cluzo, Videoclub et leur romance pop, ou encore Alcest et leur « blackgaze ». Mais aussi Ho99o9, Otoboke Beaver, N’to ou Squid. Et puis cette année, pour marquer le coup, les couleurs de l’électro seront portées bien haut, avec une grande soirée dédiée dans chaque ville : Dan Deacon à Dijon, Popof à Mulhouse, ou encore Mottron à Montbéliard

GéNéRiQ, c’est le festival sûr pour dénicher la perle à suivre sur une carrière entière, ou juste l’endroit idéal pour vivre un vrai beau moment de musique pendant l’hiver.

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Le festival de l’axe Rhin-Rhône, un festival partagé sur un territoire représentant près de deux millions d’habitants.
Initié en 2007 sous l’impulsion et l’égide des Eurockéennes de Belfort, le festival GéNéRiQ est le premier événement culturel à rassembler sur l’axe Rhin-Rhône un archipel de villes et d’agglomérations aux identités fortes : les centres urbains de Dijon, Besançon, Belfort, Mulhouse et le Pays de Montbéliard. Animé par un désir d’aménagement culturel et de mobilité des publics et des artistes au sein de l’espace métropolitain Rhin-Rhône, le festival associe également de multiples structures culturelles du Grand-Est et de ses régions frontalières.

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Ils organisent le festival GéNéRiQ
GéNéRiQ est une aventure collaborative, un des rares festivals à être porté conjointement par six structures : Les Eurockéennes de Belfort, La Vapeur (Dijon), Le Moloco (Audincourt), Le Noumatrouff (Mulhouse), La Rodia (Besançon) et La Poudrière (Belfort).
Le festival s’appuie ainsi sur un système d’organisation coopératif : il s’enrichit de la contribution et du réseau de chacun des porteurs du projet.

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Un réseau international
En 2012, GéNéRiQ a rejoint la Fédération DeConcert!, réseau regroupant 31 festivals français et européens (Les Eurockéennes de Belfort, Les Vieilles Charrues, Les 3 Éléphants, Sakifo, Dour Festival, Spot Festival, Paléo Festival, Sziget Festival…).
DeConcert! poursuit plusieurs objectifs : favoriser les échanges, la mutualisation des expériences organisationnelles et de programmation, des outils de communication, la création et le développement artistique, l’étude de l’évolution du secteur des festivals ainsi que leur représentation au sein d’organismes professionnels (institutions, sociétés civiles).
Le réseau regroupe des festivals artistiquement indépendants, soucieux de l’accueil du public et des artistes, attachés à leur territoire mais ouverts à la coopération nationale et transnationale. Ces festivals sont des acteurs culturels qui s’inscrivent durablement dans le paysage culturel et économique de leur territoire respectif. Ils défendent des valeurs de partage, de fraternité, de citoyenneté, de respect environnemental et d’audace artistique.